- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…


lundi 19 janvier 2015

Déduction ?

Toujours plongé dans mes lectures, après les songes érotiques d'un séminariste, j'ai découvert un dialogue savoureux
"- Tu sauras te passer de moi cette nuit…
- Ça rend sourd !
- Tu sais bien ce que je veux dire.
Mme Lancelot allonge le bras et flatte l'érection qui distend le pantalon de Dulac.
- Il n'y a pas qu'en affaires que tu es dur, Germain je te fais confiance pour savoir où aller régler celle-ci sans avoir à traiter de la main à la main!.../… tu baises trop bien pour être fidèle mon chou !"

Si je vous fais partager cet échange délicieusement écrit, c'est aussi pour vous faire partager une interrogation qui s'est imposée à moi. Si du fait qu'il baise trop bien l'on peut en déduire qu'il  n'est pas fidèle, pourrait-on, à contrario, en déduite que ceux qui baisent comme des brèles sont d'une fidélité absolue ?

2 commentaires:

  1. ou célibataire? et que tous les couples sont infidèles

    RépondreSupprimer
  2. Je poursuis votre déduction : "ceux qui baisent comme des brèles sont d'une fidélité absolue, et celles qui bénéficient de leur assiduité n'ont pas fini d'en souffrir."

    RépondreSupprimer

Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…