- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


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mercredi 17 juin 2015

Une vision réaliste ?

La forme interrogative du titre est importante. Je me permets d’insister sur ce point pour éviter tout risque de recevoir une volée de bois vert de la part de lecteurs courroucés, et là le choix du masculin n’est pas fortuit.
Ce billet fait donc référence à une vision que je me contenterai de citer sans indiquer si je la partage. Nous l’avons tous entendu sous différentes formes. La forme de base étant "les hommes pensent avec leur queue", les formes plus imagées sont nombreuses, "Les hommes ne peuvent faire deux choses à la fois, bander et penser" ou "les hommes n’ont pas assez de sang pour irriguer à la fois le cerveau et leur bite." Vous comprendrez donc sans peine, avec un "e", pourquoi j’insistais sur cette forme interrogative du titre.
L’objet de ce billet est de vous livrer une forme jolie de cette idée, découverte au hasard d’une lecture, "il avait donc un point faible, le même que la plupart des hommes ; à mi-chemin entre la queue et le cœur."
Je me permettrai de conclure par une autre citation empruntée "à ce grand maladroit, qui fit un jour Alceste", et je vous laisse le plaisir de trouver les auteurs de ces mots, "Ah ! Qu’en termes galants, ces choses-là sont mises !"

1 commentaire:

  1. Rires, en fait à mi chemin entre la queue et le cœur se trouve le nombril, est-ce donc à dire qu'il était égocentrique?

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