- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


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lundi 2 mai 2016

Page blanche…

Cela ressemble certes à un poncif mais, soyons honnêtes, sans être écrivain, il m’arrive de rester devant une page qui pour être virtuelle n’en est pas moins blanche. Et je dois avouer être parfois, souvent, bien incapable de m’en sortir, malgré des tentatives aussi incongrues que désespérées, autrement que par quelque affligeante banalité qui finissent à la corbeille, toute aussi virtuelle que la page.
Je viens de découvrir dans un roman la réponse de l’un des personnages, écrivain, à cet angoissant problème " Blocage mental ; voilà ce que c’est : Les pages blanches sont aussi stupides que les pannes sexuelles liées à la performance : c’est la panique du génie, celle-là même qui rend votre petite queue toute molle lorsque vous vous apprêtez à jouer à la brouette avec une de vos admiratrices et que vous ne pensez qu’à lui procurer un orgasme tel qu’il sera mesurable sur l’échelle de Richter."
Outre le fait que je n’ai pas de telles admiratrices je dois avouer que cette explication ne m’a pas rassuré. Sauf erreur de ma part le Viagra n’est efficace que pour la partie brouette !




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