- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…


dimanche 30 juin 2013

Master et plus ...

- Et ton premier maître, qu'est-il devenu ?
- Mon master ?
- Oui, ton Master, tu le vois encore ?
- Oui, mais c'est fini, c'est devenu mon ami et aussi mon webmaster...

samedi 29 juin 2013

Onanisme...

La lecture de la presse réserve toujours des surprises, en l'occurrence de vieilles surprises, les deux articles datant de septembre et novembre 2012.
En septembre, un homme est arrêté dans le Canton de Vaud en  Suisse pour s'être livré à des actes d'ordre sexuel en public. A priori une nouvelle tristement banale, l'on pourrait sourire à la lecture de la formulation employée, voire faire une plaisanterie douteuse sur la lenteur suisse, mais cette information ne mériterait pas d'être relevée s'il n'avait été arrêté à Gland.
En novembre, à Seattle cette fois, un homme est interpellé en train de se masturber en public, assis le pantalon sur les chevilles. À l'arrivée de la police, il a demandé le temps de pouvoir se terminer. Mais l'article ne précise pas si les agents de police lui ont donné un coup de main...

vendredi 28 juin 2013

Totalement maso...

- Elle est complètement maso !
- Tu crois ?
- Oui, même dans le choix de ses partenaires...
- Vraiment ?
- Tellement maso dans ses choix que son nouveau mec est totalement vanille...

jeudi 27 juin 2013

Un déclic ?

L'information ne passe pas inaperçue, surtout lorsqu'elle est reprise sur France 2, dans l'émission Télématin pour être précis, un  spray qui booste le désir féminin est en cours de mise au point.
À cette occasion, et pour évoquer l'efficacité de ce spray, la présentatrice l'a bien sur comparé au Viagra, en précisant qu'à côté le petit comprimé bleu était totalement has been.
Si j'ai bien compris, ce produit serait donc la version spray du boitier dessiné par Manara dans Le Déclic. Mais il est tout de même surprenant que ce produit destiné à stimuler le désir féminin s'utilise par l'introduction dans le nez... Surtout pour un produit qui ne serait pas has been, mais peut-être has bite...

mercredi 26 juin 2013

Trio ou triangle.3

Pour que cette histoire arrive au tri, qu'il soit angle ou o, il est  nécessaire d'introduire ici la deuxième elle, ci-après dénommée "son amie." Son apparition, apparition virtuelle, apparition idéelle eut lieu lors d'un déjeuner. Dans un petit restaurant, un de leur point de rencontre habituel, il avait commandé gourmand une bouteille de vin et ils buvaient ainsi leur apéritif, un vin bio, un vin si joli qu'on buvait en Arbois. Ils bavardaient les yeux dans les yeux, ou pour être plus précis ses yeux à elle dans ses yeux à lui et ses yeux à lui dans son décolleté à elle.
"T'ai-je dit, lui sourit-elle, que j'ai parlé de ton blog à une de mes amies ?
-Une nouvelle lectrice,  demanda-t-il, une lectrice intéressée, une lectrice jolie, une lectrice coquine, une lectrice intéressante ?
-Jolie tu me diras lorsque je te la présenterai. Intéressée,  ce qui est certain c'est qu'elle aime tes textes, ton style. Coquine, lorsque je te dis que c'est une amie, n'est-ce pas là une réponse déjà ? Intéressante, je ne sais pas, mais toi, tu sembles intéressé..."
Est-ce par hasard qu'elle sourit à ce moment là au serveur qui arriva avec les assiettes. Elle attaqua allègrement sa salade en lui déclarant " Déguste sans attendre, les volailles sont meilleures quand elles sont bien chaudes."
Il n'est pas moins surprenant que lorsqu'il voulut tenter de remettre ce sujet sur la table, caressant son entrejambe sous cette dernière de son escarpin, elle lui sourit pour lui rappeler que c'était avec elle et non avec son amie qu'il déjeunait  et qu'elle espérait bien quelques jeux après avoir pris un café, noir et sans sucre.
"Mais lui dit-elle, ne boude pas, si tu es sage je te parlerai encore de mon amie, elle devrait te plaire, elle est très joueuse, elle aussi...
-Auriez-vous joué ensemble ? ne put-il s'empêcher de l'interroger?
-Voyons, ce n'est pas une question que l'on pose à une dame. Surtout lorsque la dame est en train de te branler avec son escarpin sous la table d'un restaurant..."

trio ou triangle 2
trio ou triangle 1 

mardi 25 juin 2013

Flamboyant....

Fanny Ardant vient de donner une interview au magazine Elle. Dois-je préciser que je ne suis pas un lecteur assidu de cet hebdomadaire que je croise exclusivement dans la salle d'attente de mon médecin ? Et dois-je préciser aussi pour mes lecteurs ou lectrices nostalgiques que je fus sans aucun doute un lecteur plus assidu du mensuel Lui ? Je m'interroge toutefois sur la pertinence du mot lecteur,  en l'occurrence voyeur serait peut-être plus adapté.
Mais j'en reviens à l'interview dans laquelle Fanny Ardant a déclaré "L'adultère, oui, s'il est flamboyant et clandestin. L'adultère ne supporte pas la médiocrité. Elle ajoute même " Un adultère complètement pourri peut recimenter un couple." Je ne commenterai pas cette dernière affirmation, mes compétences de conseiller conjugal étant pour le moins limitées. Mais par contre, quelle beauté dans cette appellation, proche de l'oxymore, de l'adultère flamboyant et clandestin !
À défaut d'adultère, faisons pour le moins flamboyer nos érotismes !
Et dois-je préciser, que faire flamboyer nos érotismes ne signifie nullement avoir le feu au cul...

lundi 24 juin 2013

L'heure de .... ?

J'aime les mots et si j'essaye souvent d'écrire, je lis souvent mais jamais assez. Et j'aime faire partager mes découvertes, mais surtout des phrases tirées de mes lectures et parfois, voire souvent, lues à contresens. La citation du jour en est encore  un exemple "Aime et fais ce que tu voudras ...Si votre action (...) vient d'un élan sincère, n'ayez pas peur du pêché. Vous êtes dans le droit chemin."  Que ne peut-on imaginer en lisant une telle déclaration ?
Je ne vous demanderai pas d'essayer d'en découvrir l'origine, d'aucune serait capable d'en trouver bien trop vite l'origine. Cette phrase est tirée d'un superbe roman, que je ne saurais que trop vous suggérer de lire ou relire, écrit en 1949 par Virgil Gheorghiu  La Vingt-cinquième Heure.
Et, pour  vous inciter à une lecture à contresens de cette citation, ajouterai-je que Virgil Gheorghiu a écrit quelques années plus tard un roman intitulé  La Cravache.

dimanche 23 juin 2013

Dialogue

«  Alors ?
- Super, il m'a baisé toute la nuit et  défoncé le cul
- Moi c'est le QI que j'aimerais me faire défoncer.... »



samedi 22 juin 2013

Carotte...

Certains articles ne passent pas inaperçus, et celui sur la sexologue américaine Jill Mcdevitt en est un. Faut-il préciser pour celles ou ceux qui l'ignoreraient qu'elle est surtout célèbre pour ses house sessions, sortes d’ateliers qu’elle donne à une dizaine de participantes, à la maison. Elle leur apprend notamment à faire une fellation avec une carotte.
Quoi que vous puissiez penser, je ne ferai aucun commentaire sur la taille des carottes, ni même sur le nom prédestiné de la sexologue Mc de Vit...
J'espère simplement que ces américaines ne sont pas fans de Tex Avery et que lorsqu'elles mettront en œuvre leur nouveaux talents, elles ne songeront pas à Bugs Bunny disant : "What's up doc ?" avant de mordre allègrement dans une carotte.....


vendredi 21 juin 2013

Sur Facebook

"- Tu as vu, X aime un lien....
- Pas étonnant, elle a toujours été fan de bondage !"

jeudi 20 juin 2013

À l'œil ?

Que ne découvre-t-on en lisant la presse, selon  le site internet américain Business Insider et l'information est largement reprise, commentée, amplifiée, les écoliers japonais  lèchent les yeux de leurs camarades pour s'exciter mutuellement. L'on peut ainsi apprendre que ce fétichisme s'appelle  oculolinctus.
Je dois avouer, peut-être suis-je vieux jeu, qu’à mon époque, l'on jouait à touche pipi, activité somme toute bien banale.
Cependant un aspect de cette nouvelle est plutôt inquiétant en effet elle provoque, semble-t-il, des conjonctivites. Doit-on en déduire que, au Japon au moins, le safe sex n'est pas à l'œil.
Mais, pour tout vous dire, je m'en tamponne le coquillard, ce qui est peut-être la variante SM de cette pratique...

mercredi 19 juin 2013

Façade...

 «  Ne me dites pas que vous avez poussé le vice jusqu'à passer dans ma rue pour voir l'immeuble dans lequel j'habite !
- Non, le fétichisme des façades d'immeuble me laisse de marbre. »

mardi 18 juin 2013

Religion.

Deux textes sur le thème religion et BDSM en trois jours, cela ne peut être le fruit du hasard. Et pourtant le jour où je publiais le premier nemo potest, je découvrais dans un roman cette citation tirée de la première épitre aux Corinthiens. Par contre, j'en conviens, ce n'est sûrement pas le hasard si j'ai écrit  ce deuxième  billet. Il n'y a pourtant aucun rapport diraient certains entre la religion et le BDSM et ce ne serait là que lectures abusives des textes. Je dois avouer être incapable de savoir en l'occurrence où commence l'abus et d'autres avant moi se sont tant appuyés sur les textes qu'ils ont fini par les déformer.
La question du lien entre religion et BDSM serait donc une simple question de lecture, ou de relecture, la relecture étant définie comme une lecture, pouvant amener à une nouvelle interprétation. Or l'étymologie du mot "religion" a donné lieu à une controverse ancienne puisqu’elle naît dans la littérature latine. Pour les uns l'origine du mot serait le verbe relegere signifiant "relire" la relecture selon Cicéron serait liée à la nécessité de relire les textes pour vérifier scrupuleusement le respect des rites. Pour les autres l'origine serait le verbe religare qui signifie  "relier" indiquant alors un lien crée entre l'être humain et dieu. Pour de plus amples informations, je vous laisse le soin d'interroger au choix, votre moteur de recherche, votre libraire ou votre bibliothécaire.
Mais sans avoir la prétention d'approfondir plus avant, l'on peut noter que les deux étymologies, ont quelques points communs avec le BDSM, avec un parallèle entre d'un coté nécessaire relecture pour respecter les rites et création de lien et de l'autre  fétichisme rituel et bondage....

lundi 17 juin 2013

Un feu d'artifice

J'ai un souci de syntaxe me dit-elle pour raconter ce qui s'est passé pour ce 14 juillet. Nous devions aller voir le feu d'artifice. Je m'étais habillée comme j'aime et comme il aime, très féminine, les talons hauts, les bas, la robe décolletée, la panoplie complète.
Dans la voiture déjà, sa main glissait le long de ma cuisse. Il s'est garé tout au bout du parking, à l'écart, il avait bien minuté notre arrivée, nous sortions à peine de la voiture et les premières fusées s'envolaient. Il m'a embrassée, ses mains ont glissé sous ma robe et très vite je me suis retrouvée sur le capot de la voiture. J'ai regardé ainsi le plus beau des feux d'artifice, sur ce capot, ma robe troussée, et lui me prenant allègrement, j'ai joui pendant le bouquet final.
Je dois donc écrire "un feu d'artifice, il m'a tiré" pour indiquer qu'il a tiré pour moi un feu d'artifice, ou "un feu d'artifice, il m'a tirée" pour indiquer que pendant le feu d'artifice, il m'a baisée ?

Première épitre aux Corinthiens

Au hasard d'une lecture, j'ai trouvé une citation qui me permet de poursuivre dans la veine catho-sado-maso. Même si en l'occurrence le terme de catho soit mal adapté, en effet, et les lectrices et lecteurs l'auront noté pour le texte français j'ai utilisé pour mon dernier  texte la TOB, traduction œcuménique de la Bible (TOB), qui est une traduction française de la bible effectuée en commun par des chrétiens de confession catholique et protestante. J'ai donc décidé de préférer une traduction catholique.
La citation est extraite de la première épitre aux Corinthiens 7-21 Servus vocatus es? Non sit tibi curae; sed et si potes liber fieri, magis utere! , dont la traduction est la suivante " As-tu été appelé étant esclave? ne t'en mets point en peine; mais quand même tu pourrais devenir libre, profites-en plutôt." N'est-ce pas là une belle invitation à jouir de sa condition d'esclave ?

Une dernière précision doit être apportée. Cette traduction, qui colle si bien au thème, a été réalisée par Lemaistre de Sacy. Faut-il préciser que Sacy n'est pas le nom de sa soumise ?

samedi 15 juin 2013

Trio ou triangle.2

Elle et lui se connaissent depuis de nombreuses années. Ils n'ont jamais eu le temps de se lasser l'un de l'autre puisqu'au long de ces années, ils se sont d'abord souvent téléphoné, envoyé des mails, mais se sont peu vus. Mais ils restent toujours attachés l'un à l'autre. Dois-je préciser que je ne fais ici nullement allusions à une quelconque pratique.
Il l'avait draguée dans la rue. Il se souvenait encore de cette inconnue. Elle était apparue devant lui, ses talons hauts, sa jupe moulante, son déhanché. Il l'avait suivie quelques instants, l'avait dépassée mais s'était retournée et là, son sourire et son somptueux décolleté. Il l'avait abordée, une banalité sans aucun doute, elle avait souri...
Puis ils s'étaient revus de temps en temps, de manière totalement irrégulière, ils s'étaient perdus de vue, retrouvés. Et elle avait toujours son sourire qui étincelait dans son regard et son décolleté qui dévoilait à merveille ses superbes seins. Et il avait toujours son regard qui pétillait en plongeant dans ce décolleté tout en lui souriant " tu as toujours d'aussi beaux yeux."
Ils s'étaient tout au long de leurs rencontres découverts, du bout des mots d'abord, puis du bout des doigts, du bout de la langue, et d'un bout à l'autre. Il se souvenait du jour où elle lui avait montré, hilare, ses seins dans un bistrot. Elle se souvenait du jour où il l'avait caressé dans un restaurant. Et ils se souvenaient tous deux de cette première fois où ils s'étaient rué dans le premier hôtel venu et où ils avaient cru ne jamais arriver à la chambre avant qu'ils ne se prennent contre le mur juste derrière la porte, prélude à une soirée de folie.
Ils continuaient à se rencontrer alternant les rencontres autour d'un verre, peuplées de discussions sans fin avec des rencontres en tout lieu, surtout les plus improbables disait-elle, où les discussions tout aussi interminables se jouaient sur les cinq sens à la fois....



trio ou triangle 3
trio ou triangle 1 

vendredi 14 juin 2013

Nemo potest

Les évangélistes, Matthieu, Marc, Luc et Jean, ne sont vraisemblablement pas des grands spécialistes des relations BDSM, même si une étude krono-psychanalytique pourrait laisser penser le contraire.
La krono-psychanalytique faut-il encore le rappeler est une discipline dérivée de la psychanalyse. Le mot est formé non pas avec le préfixe chrono tiré du grec et signifiant temps et qui aurait alors pu désigner une psychanalyse temporelle, mais avec le préfixe krono tiré du nom Kronenbourg et qui désigne donc une psychanalyse de comptoir.
Une approche dans un cadre krono-psychanalytique non pas de la vie des évangélistes dont l'on ne sait rien, mais chronologique de l'église catholique fait apparaître des faits troublants dans le domaine qui nous intéresse ici. En effet après une première période de persécution dont les pratiques relèvent du masochisme, l'église est passée à la création de l'Inquisition qui relève du sadisme.
Malgré cette brillante analyse, le lien entre les évangélistes et les relations BDSM est loin d'être établi et pourtant, Mathieu a écrit un texte qui pourrait s'appliquer à merveille aux relations BDSM,  Nemo potest duobus dominis servire : aut enim unum odio habebit et alterum diliget, aut unum sustinebit et alterum contemnet; non potestis, soit pour les non-latinistes " Nul ne peut servir deux maîtres : ou bien il haïra l'un et aimera l'autre, ou bien il s'attachera à l'un et méprisera l'autre."

jeudi 13 juin 2013

Mâle port de la jupe...

Les pays scandinaves, à tort ou à  raison, ont ou ont eu la réputation d'être plus libres que nous sur les questions sexuelles. Il n'y aurait donc pas lieu de s'étonner que ce soit dans un pays scandinave, en Suède en l'occurrence, que l'on voit des hommes porter la jupe.
Mais, car il y a un mais, sans cela cette information ne mériterait pas une publication. Mais, disais-je, la raison de ce port de jupe n'est nullement liée  à une quelconque liberté, fût-elle sexuelle.
En effet, le règlement de la Roslagsbanan, l'équivalent des RER franciliens à Stockholm, interdit aux conducteurs des trains de venir travailler en short, même lors d'une canicule. Par contre les jupes sont incluses dans les uniformes "standard" sans qu'il ne soit précisé si elles sont réservées aux hommes ou aux femmes. Certains mâles conducteurs portent donc la jupe en attendant la discussion sur le port du short qui a été renvoyé à septembre.
Toutefois, je n'ai encore trouvé aucune indication sur les dessous portés par ces conducteurs, sans aucun doute un sujet qui mériterait d'être mis en lumière....

mercredi 12 juin 2013

Dialogue entre amants...

Encore une fois, je ne peux résister au plaisir de vous faire partager un passage d'un roman, un extrait d'un dialogue entre une femme et celui qui est son amant, ils sont nus sur son lit, celui de la femme:
"Je ne me souviens même pas où je t'ai rencontré la première fois, je déclare calmement en le regardant.
- Quoi ? grommelle-t-il, stupéfait. Et tu voudrais que moi je m'en souvienne ?"
Cet échange n'est-il pas superbe, n'est-il pas une superbe illustration de notre "vie moderne" ?
Et, pour celles ou ceux qui se poseraient la question, ce passage est extrait de Zombies de Bret Easton Ellis.

mardi 11 juin 2013

Une première rencontre 4/5

Il la regarde, il la contemple, femelle offerte, ouverte. Il aime le spectacle de ce corps exhibé, entravé, aveuglé. Il aime cette manière qu'elle a de bouger, de tenter de bouger, son bassin qui ondule, qui se tend. Il aime ses gémissements, ses mots, ses tentatives de mots qui gémissent dans la cravache. Il aime regarder son visage qu'elle tourne vers le moindre bruit, ses narines qui palpitent et sa bouche serrant toujours la cravache. Il aime ses dents serrées empêchant tout son articulé, il aime ses lèvres qu'elle ne peut fermer et sa salive qui s'écoule lentement. Il aime ses seins lourds dont les pointes sont dures, tendues. Et surtout il aime son sexe ouvert, luisant de désir, il aime la regarder couler, il aime regarder ses fesses tendues, impudiquement ouvertes.
Il aime qu'elle ait choisi de s'offrir ainsi, qu'elle soit offerte, disponible, ouverte à toutes ses envies à tous ses désirs. Il aime la faire attendre, la faire enrager, il aime sentir le désir qui monte en elle.
Il effleure ses pointes de seins tendues, moment magique où il exulte de voir tout le corps frémir, tressaillir, où il entend sa demande inarticulée, où il voit ce regard invisible et suppliant. Et il aime le moment à venir où il va pincer ses seins. Il aime qu'elle sache déjà que ce moment va venir, qu'elle le redoute et le désire à la fois. Et il aime être le seul maître du jeu, il aime qu'elle lui ait offert cela, la plus belle offrande qui soit....


une première rencontre 5/5
une première rencontre 3/5 
 

une première rencontre 2/5 
une première rencontre 1/5   

Licence Creative Commons
Une première rencontre 4/5 d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International

lundi 10 juin 2013

Sois heureuse

"... sois heureuse et pense à moi souvent
Toi qui vas demeurer dans la beauté des choses"
Est-il nécessaire de rappeler la provenance de ces vers ?
Ils sont d'une belle et sombre beauté et pour moi ils restent l'une des plus belles déclarations d'amour qui soit....

vendredi 7 juin 2013

Un angle d'étude orienté...

Encore une fois, j'ai croisé sur internent un article commentant une étude. Cette fois-ci elle portait sur la sexualité en Belgique. Certains chiffrent me laissent toujours perplexe, en effet seulement 60,2 % des hommes et  31,4 % des femmes déclarent se masturber.
Mais plus étonnantes sont les données concernant la pénétration anale, selon le terme employé dans cet article. En effet cette dernière  serait pratiquée par 37,6 % des hommes, et 24,8 % des hommes. Il est probable que  l'un des deux pourcentages concerne en fait les femmes. Mais dans tous les cas, l'on peut regretter le parti pris idéologique de ne distinguer la pénétration anale active et la pénétration anale passive. Nos amis, au masculin en l'occurrence, belges ne se font-ils donc jamais enculer ?

http://www.sudinfo.be/738517/article/fun/tendances/2013-06-06/une-belge-sur-quatre-pratique-le-sexe-anal-8-femmes-sur-10-la-fellation 


Une première rencontre 3/5

Elle inarticule des mots en serrant plus fort encore cette cravache entre ses dents,  elle gémit une supplication, elle le veut, elle veut qu'il la prenne, qu'il la pénètre, qu'il la baise. Mais non, il joue autour d'elle, il se joue d'elle. Elle aime ça, c'est horrible comme elle aime ça. Il sait ce salaud qu'il la rend folle. Elle veut lui crier, lui hurler qu'il a gagné, qu'elle est à lui, qu'elle est sa femelle, sa pute, qu'il peut la prendre comme il veut, quand il veut, qu'il peut tout, qu'il peut tout lui faire. Elle veut lui pleurer, lui gémir qu'il peut, qu'il doit tout lui faire, qu'elle en veut, qu'elle le veut, qu'elle veut tout de lui, la douleur et le plaisir, qu'elle veut même l'attente, cette attente qui la rend folle.
Elle exècre, elle adule cette envie qui naît en elle, qui lui tord les tripes, qui la fait vriller, qui la fait sortir d'elle-même. Ses seins sont durs, tendus de désirs. Elle cambre sa croupe, ouverte, indécente, au-delà de la décence, femelle, animale, offerte dans l'attente d'une saillie, dans l'attente sans savoir ce qu'elle attend, sans l'attente de ses envies, pas les siennes, les envies de Lui, les folies de Lui.
Elle lui offre, elle lui abandonne son corps, elle lui abandonne ses envies, ses désirs, elle ne veut plus que les siens.
Elle hurle son désir dans un cri silencieux les dents plantées dans la cravache....

une première rencontre 5/5
une première rencontre 4/5 
une première rencontre 2/5 
une première rencontre 1/5
  
Licence Creative Commons
Une première rencontre 3/5 d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International

jeudi 6 juin 2013

Souvenirs d'ovalie

- Les nanas qui ont un cul d'enfer, c'est comme les joueurs de rugby qui ont d'énormes moyens physiques, ce n'est pas terrible, tu comprends ?
- Non, pas du tout...
- Mais si, si le mec a de gros moyens physiques il joue dessus, et il ne se soucie pas assez de la technique. Une nana qui a un cul d'enfer, c'est pareil, elle en joue, et elle croit que ça suffit, résultat côté technique c'est léger. Tu comprends ?


mercredi 5 juin 2013

Terrible nouvelle

Ô nuit désastreuse ! ô nuit effroyable, où retentit tout à coup, comme un éclat de tonnerre, cette étonnante nouvelle, la taille du pénis a diminué de 10% en 60 ans. L'information est sérieuse, divulguée par le Corriere della Serra. L'étude vise certes les pénis italiens  qui sont passés de 9,7cm en 1948 à 8,9cm en 2012. Mais si l'étude reste ciblée sur les Italiens, les causes de cette diminution seraient les changements environnementaux et l'obésité, selon le Professeur Carlo Foresta et nous concerneraient donc aussi.
Les polluants et changements environnementaux qui perturbent le système endocrinien stimulent chez les femmes le développement mammaire mais chez les hommes ont l'effet inverse sur le pénis. En clair, si l'on continue ainsi, les pénis seront plus petits pour des seins plus gros, les cravates de notaire vont devenir fascinantes.
Et enfin, l'obésité influence négativement la production d'hormones à l'adolescence. La longueur du pénis est inversement proportionnelle au surpoids. Dois-je vous préciser qu'à l'adolescence j'étais un grand maigre ?

samedi 1 juin 2013

Une conversation téléphonique sexuée ...

- Monsieur Jean-Michel J.... ?
- Oui...
- Bonjour Monsieur, Marc  X.... de la société Y.... institut de sondage.
- Oui...
- Nous réalisons une enquête sur un sujet de société, avez-vous quelques minutes à me consacrer ?
- Oui...
- Mas, une précision, pour des raisons d'échantillonnage   je souhaiterais parler à une femme
- Vous n'êtes pas le seul, essayez donc un club de rencontre ....